Êtes-vous carencé en oméga 3 et/ou en vitamine D

Pour lire aussi plus tard, téléchargez cet article en PDF >> CLIQUEZ ICI <<

[hcshort id="23"]

Une carence en oméga 3 et vitamine D, c’est à la mode, et il est fort probable que vous en ayez entendu parler ? Mais qu’en est-il au juste, y a-t-il réellement un problème, êtes-vous concerné(e), et si oui, qu’est-ce qu’on peut faire ?

J’ai trouvé des réponses très intéressantes lors d’un récent séminaire à Paris, dont les oméga 3 et la vitamine D étaient justement d’actualité. La conférence était présentée par la Dr Nam Tran Nguyen, médecin généraliste, et micro-nutritionniste.

Carences en oméga 3 et vitamine D : ampleur

J’ai été quelque peu « scotché » par l‘ampleur des carences observées (j’ai même pensé mettre « en pleurs » comme sous-titre 🙂 ).
Jugez plutôt, une grande majorité de la population occidentale, de l’ordre de 80%, serait carencée en oméga 3 et de l’ordre de 90% au-dessus de la latitude de Madrid le serait en vitamine D.
Or ces carences peuvent conduire à de nombreux mal-être et problèmes de santé.
Rassurez-vous, je ne vais pas vous faire la longue liste de tous ceux-ci (vous pourrez si le coeur vous en dit en savoir plus via quelques liens en fin d’article), mais il faut savoir que cela touche tout de même des domaines assez vastes, tels que

système nerveux
système cardio-vasculaire
système immunitaire
réplication et transmission du patrimoine génétique
le développement embryonnaire, celui de l’enfant
la sensibilité à l’insuline
les articulations
la peau
les yeux et la vision
apprentissage/concentration
…

Quels sont les domaines qui pourraient vous concerner vous, puisque statistiquement parlant, vous avez de grandes chances de faire partie de cette majorité carencée ?

Comme vous pouvez le voir, même les enfants sont affectés, et ce, dés leur premier âge.

Carence en oméga 3 et vitamine D : des signes

Un exemple assez fréquent mais dont la cause est souvent méconnue est relatif à l’équilibre émotionnel. Quelqu’un qui a tendance à « pleurnicher » ou à s’énerver pour un oui ou pour un non pourrait bien tout simplement être victime d’une carence en oméga 3.
Le nom ou le visage de quelqu’un vous viendrait-il à l’esprit ?

Outre la sensibilité émotionnelle dont nous venons de parler, vous pouvez aussi y ajouter une tendance dépressive ou de l’anxiété.

D’autres signes peuvent vous mettre sur la voie d’une carence en oméga 3, comme : des troubles du sommeil, des problèmes d’attention, de concentration, de mémoire, une peau et des cheveux secs, une soif importante, …

Une carence en oméga 3 peut aussi conduire ou être associée à de fortes inflammations, des problèmes cardio-vasculaires, des problèmes immunitaires et des maladies auto-immunes, …

D’après une étude américaine, une carence en oméga 3 serait la sixième cause de décès aux USA.(Public Library of Science Medicine Journal Vol. 6, April, 2009 ; ‘The Preventable Causes of Death in the United States: Comparative Risk Assessment of Dietary, Lifestyle, and Metabolic Risk Factors’, Authors: Goodarz Danaei, Eric L Ding, Darius)

Carence en oméga 3 et vitamine D : des effets concluants

Notre « Doc » conférencière nous a bien fait comprendre qu’il était très utile et important d’apporter à notre corps les oméga 3 qui nous manquent, mais que dans certaines situations à risque, cela est même une urgente nécessité, en donnant comme exemples les cas sévères de stress, de diabète, d’infection, d’inflammation, …

Elle a pu observer des améliorations nettes et rapides suite à une supplémentation en oméga 3 chez l’enfant dans des domaines variés comme les problèmes des voies respiratoires supérieures, les problèmes d’apprentissage, TDAH (Trouble Déficitaire de l’Attention avec ou sans Hyperactivité ), eczéma, ou encore problèmes de concentration.

Pour notre santé, le rapport entre oméga 3 et oméga 6 devrait être de l’ordre de 1 pour 2 à max 1 pour 4, mais de nos jours un rapport de 1 pour 20 est classique, et peut aller jusqu’à 1 pour 40 à 50.

Encore faut-il savoir pourquoi nos sociétés occidentales présentent de tels déficits en éléments clés pour notre santé, et comment y remédier.

Carence en oméga 3 et vitamine D : origines

Pour la vitamine D, le manque de soleil est une des causes, car il participe à la « fabrication » de vitamine D dans notre corps, d’où les chiffres (>90%) pour des latitudes au-dessus de Madrid.
La vitamine D est peu présente dans l’alimentation, mais peut être fabriquée par notre corps quand notre peau est exposée au soleil.

Pour les oméga 3, vous l’aurez compris, cela provient forcément de notre alimentation.
La cause principale est que les « graisses » que nous ingurgitons contiennent de nos jours beaucoup trop d’oméga 6 et bien trop peu d’oméga 3.

Une des raisons avancées serait les modes d’agriculture et d’élevage privilégiant la rapidité d’élevage et les graisses végétales utilisées dans l’industrie, certes économiques, mais pauvres en oméga 3. Cela me fait penser à la qualité nutritionnelle de nos aliments que nous avons abordée précédemment.

Un simple exemple assez parlant, les oeufs « classiques » achetés au supermarché auraient un rapport de 1 pour 20, alors que les oeufs de poules picorant à l’air libre et se nourrissant naturellement présenteraient un rapport de 1 pour 1,5.

Carence en oméga 3 et vitamine D : quelle solution ?

Comme tout le monde n’a pas le luxe d’élever ses animaux et cultiver ses plantes en connaissances de cause, le moyen le plus simple pour combler ce déficit est de supplémenter ces oméga 3 via des « compléments alimentaires ».

Mais attention à leur source, car ce n’est malheureusement pas aussi simple.
En effet notre conférencière a également signalé qu’il était très indiqué de bien sélectionner les sources d’oméga 3 à prendre pour éliminer ces carences, et ce, à double titre.
D’un coté, pour éviter les pollutions et intoxications annexes (contamination de la matière première) qui peuvent créer d’autres problèmes.
Et d’un autre coté, de les amener via des phospholipides plutôt que par les classiques triglycérides moins recommandés en raison de leur impact sur le mauvais cholestérol.

Or dans la plupart des cas, les oméga 3 disponibles sur le marché sont issus d’huile de poissons qui combine ces 2 soucis de pollution et de triglycérides. Ces poissons sont en effet dans le haut de la chaîne alimentaire, sensibles aux pollutions diverses qui ont une affection particulière à se concentrer dans les graisses dont cette huile est extraite.

Il est donc tout indiqué que la source de ces oméga 3 soit en début de la chaîne alimentaire, et issue de zones non polluées, comme le Krill (Euphausia Superba) pêché en zone non polluée de l’Antarctique, qui a en outre l’avantage d’amener des phospholipides, ce qui rend ces oméga 3 beaucoup plus bio-disponibles.

J’ai pu m’entretenir quelques instants après la conférence avec la Dr Nam, qui est très sympathique par ailleurs. Lors du suivi de ses patients, elle a remarqué que les résultats étaient bien meilleurs quand ces oméga 3 et phospholipides étaient absorbés en présence de matières grasses; leur assimilation étant alors boostée car ils sont liposolubles m’a-t-elle dit.

Carence en oméga 3 et vitamine D : conclusion

J’ai trouvé un produit qui combine toutes ces qualités (source d’oméga 3 de qualité, provenant du Krill péché dans des zones non polluées de l’antarctique et riche en phospholipides), ainsi que d’autres qualités intéressantes, comme

la vitamine D3 (de source naturelle) dont nous avons parlé ci-dessus, et dont les carences sont également très importantes dans la population;
mais aussi la choline, un nutriment capital pour produire un neurotransmetteur essentiel (l’acétylcholine) impliqué dans le réseau neuronal et la mémoire. Le manque d’acétylcholine serait un des points communs des personnes souffrant d’Alzheimer;
et l’astaxanthine, un puissant anti-oxydant, aux propriétés anti-inflammatoires, et renforçant le système immunitaire.

c’est le NaturaKrill, facilement disponible sur internet comme vous pouvez le voir.

J’ai aussi pu m’entretenir avec le président du conseil d’administration de la société qui le commercialise, il n’est pas peu fier d’en parler, et d’ajouter qu’il en consomme lui-même tous les jours, à sa plus grande satisfaction.

Si vous ne prenez pas de complément pour suppléer à cette carence en oméga 3 et en vitamine D, la probabilité que vous fassiez partie de cette majorité carencée est grande, même si jusqu’à présent vous n’en étiez pas conscient.

De votre coté, que vous inspire une telle ampleur de carence en oméga 3 et en vitamines D ?
Que faites-vous ou qu’allez-vous faire pour y remédier ? Répondez-y dans les commentaires ci-dessous, cela pourra ainsi être utile au plus grand nombre.

J’espère que ces informations pourront vous être utiles.
Contactez-moi pour avoir de plus amples informations.

Si vous désirez approfondir la question, voici quelques liens qui vous renverront vers des études spécifiques (bien souvent en anglais) :

Krill oil has a stronger anti-inflammatory action and enhances insulin sensitivity more potently than fish oil

Omega 3, ils protègent le cerveau des effets de la malbouffe

Des oméga-3 dans le lait maternel, quel effet ?

NaturaKrill, un complément approprié comme source d’oméga 3

Omega-3 fatty acids in health and disease and in growth and development.

Effect of treatment with omega-3 fatty acids on C-reactive protein and tumor necrosis factor-alfa in hemodialysis patients.

C-Reactive Protein as a Cardiovascular Risk Factor – More Than an Epiphenomenon?

L ong-term intake of dietary long-chain n-3 polyunsaturated fatty acids and risk of rheumatoid arthritis: a prospective cohort study of women

Intake of fish and marine n-3 polyunsaturated fatty acids and risk of breast cancer: meta-analysis of data from 21 independent prospective cohort studies

Evaluation of the effect of Neptune Krill Oil on chronic inflammation and arthritic symptoms.