Les entités et égrégores, mémoire des lieux, implications et solutions: interview d’Alain Fournier

Les entités et égrégores, mémoire des lieux, comment détecter leur présence, quelle solution apporter, quelles sont les implications ?
Voilà les révélations qu’Alain Fournier nous dévoile dans cette deuxième partie de son interview.

Pour rappel, les définitions de base et les grands principes sont disponibles dans l’article « Les entités et égrégores, mémoire des lieux, mythe ou réalité: interview d’Alain -Fournier »

Avant de continuer, voici un petit résumé très rapide pour recadrer le sujet.
Les entités et égrégores, les mémoires des lieux, sont des énergies dites subtiles.
La mémoire, c’est une vibration « non » qualifiée qui est liée à un objet.
Un égrégore, c’est une forme pensée, une énergie liée à des pensées et/ou des émotions qui génère un climat, de haine, de rancœur, …
Les entités sont des âmes restées dans le bas astral.

Ces énergies ont un effet sur la santé et le bien-être, souvent inconscient.
Les énergies de même type, similaires, s’attirent entre elles.

Les preuves de leurs existences sont bien présentes, recoupées via plusieurs sources.

Nous voilà ainsi prêts pour la suite.

Les entités et égrégores, mémoire des lieux: leurs signes de présence

 Jean-Louis : Là, tu prends un cas particulier avec des enfants qui ressentent quelque chose de particulier, mais pour la majorité des personnes, comment peuvent-elles être conscientes qu ‘il y a un soucis à ce niveau là?

Alain Fournier : Alors, percevoir la négation, en voici quelques exemples :

• des problèmes électriques récurrents comme des ampoules qui explosent, qui claquent tout le temps, souvent au même endroit, alors que tout est en ordre et contrôlé, la tension est bonne, … Cela se produit même avec des ampoules plus puissantes…
  Cela peut aussi se faire sur d’autres appareillages électriques, même nouveaux, qui tombent en panne systématiquement (ce sont des charges qui deviennent fortes).

• des problèmes d’eau récurrents, par exemple des robinetteries nouvellement installées qui ont des problèmes, des machines qui fonctionnent avec de l’eau qui ont des problèmes.

Ce sont deux grands canaux principaux sur lesquels ces charges négatives savent agir, ce sont de bons conducteurs et donc elles agissent dessus.

Autres phénomènes, les animaux, par exemple les chats ou les chiens viennent manger dans la maison, mais en ressortent ensuite, ils ne veulent pas y rester. Ce qui est absolument anormal, surtout pour des animaux domestiques.
Généralement d’ailleurs, quand on a fini le travail, ils rentrent alors aussi dans la maison et ne la quittent plus systématiquement.

Au niveau personnel, ce peut être:

• des sensations de lourdeurs,
  
• des sensations de fatigue,
  
• de passer sa nuit entière, mais d’être complètement vidé le matin, bien que d’accord pour dire aussi que ce pourrait être un point Hartmann négatif à cet endroit là qui a un effet similaire.
  Mais si on sait que du point de vue géobiologie, c’est bon à cet endroit, il est alors fort probable qu’il y a un phénomène d’entités, un principe d’entités.

Il peut y avoir des gens qui vont déclencher des maladies systématiques.
Je connais une maison que personne n’a jamais pu vider. Nous y sommes déjà passer à plusieurs, au moins 6 ou 7, et n’avons jamais su la libérer. Et les 4-5 dernières femmes qui sont passées dans cette maison ont toutes déclenché un maladie grave de la tête dans les 6 mois où elles étaient là ; cancer, thrombose, méningite ; c’est énorme.
Il peut certes y avoir aussi des métaux lourds, … un mélange de plusieurs causes, mais ce que je conseille aux gens, si nous avons encore une charge, c’est de contacter le géobiologue, ou que je vienne après lui, car je trouve que c’est très complémentaire, les énergies subtiles d’un côté, les physiques de l’autre, c’est toujours mon idée. Tu es bien d’accord aussi ?

Les entités et égrégores, mémoire des lieux: principes de fonctionnement

 Jean-Louis : Nous sommes bien d’accord, ce sont deux types d’énergies bien différentes, à traiter différemment, à chacun sa spécialité.
Venons en aux solutions maintenant, puisque manifestement il y en a, que faut-il faire, qui peut le faire et à quoi faut-il faire attention ?

Alain Fournier : Donc, avec le principe des pollutions, et je viens bien, moi dans ma catégorie des pollutions subtiles; à la base je vais, tout comme le géobiologue, mesurer le niveau énergétique, voir s’il y a un décalage.
Et au départ, je le fais d’ailleurs toujours à distance, pour avoir l’information : y a-t-il un phénomène énergétique dans la maison, le cas échéant, appartient-il au domaine de la géobiologie stricte (physique), ou au subtil strict, ou éventuellement aux 2. Il faut en effet pouvoir en informer les gens de suite.
Et quand les gens décident que je peux venir, je viens alors sur place pour enter en résonance avec les vibrations. Voilà le principe de mon travail et ce qui fait aussi, je crois, que tout le monde ne peut pas y accéder de suite à tout le moins.
Tout le monde pourrait à terme, mais ne l’a pas comme çà d’instinct, parce que c’est entrer en résonance avec le subtil, en négatif, sans en avoir peur, en connaissant son fonctionnement, et en essayant d’intervenir (et c’est mon coté thérapeutique, de mon autre casquette) au côté des personnes pour qu’elles mêmes commencent à émettre une charge différente, donc qu’elles travaillent pour ne plus avoir la même vibration puisque nous avons vu tout à l’heure que, soient elles ont été attirées dans cette maison par cette énergie, ou alors qu’elles ont attiré ce type d’énergie dans la maison (attirance des énergies similaires).

Lors d’une agression par exemple, dans l’agression, la personne agressée va (nous, on appelle cela ainsi) crier dans l’astral, et attirer une entité décédée par une agression. Cette entité, là elle est entrée, installée sur un instant, et à partir de là, elle va commencer à agir sur la personne agressée et sur son agresseur. Elle va s’opposer à l’agresseur et entrer en compassion avec la personne agressée.
Si on le prend sur le plan humain, un être humain qui ferait çà, il va câliner la personne agressée et être agressif avec l’autre. C’est ce qui va se passer dans la maison.

Mais la présence d’une première énergie négative va en attirer d’autres. C’est la première antenne qui commence à appeler, puis on se retrouve avec 2, 3, 4, 5 énergies.

Certains parlent qu’il peut y avoir 15 entités sur quelqu’un, ce qui est sur-réaliste. Quand on sait ce qu’une ou deux entités vous pompent comme énergie, vous imaginez bien qu’avec 15 entités sur soi, toute personne serait complètement grabataire. Donc méfiez-vous, y compris de ce que l’on vous dit à ce sujet.

Les entités et égrégores, mémoire des lieux: libération

Jean-Louis : Quand tu parles de travail, justement en quoi consiste ton intervention ?

Alain Fournier : C’est là un coté aussi assez subtil, je vais tâcher de l’expliquer de manière non subtile, au niveau énergie, et le plus possible en intelligence.
Le test m’a permis de savoir qu’il y avait une problématique.
Pour régler cette problématique, c’est une question de foi. Je dois avoir la foi pour faire mon travail, dans les canaux, dans les énergies (ce n’est pas religieux), une confiance absolue dans ce que je fais et dans les liens avec l’univers.
Ensuite, quand je vais entrer dans la maison, je vais tester toutes les pièces, en sachant qu’avant d’arriver, j’ai demandé à ce que les énergies soient figées.
En effet, si les égrégores, les climats sont plutôt fixes dans une pièce, les entités, elles se meuvent sans arrêt, donc je demande qu’elles soient figées. Je ne sais pas comment exactement cela fonctionne, mais quand j’arrive, elles sont figées.
Je teste donc toutes les pièces, je vais relever 3, 4, 5 ou 6 points à faire, puis je vais aller travailler avec les gens dans leur cuisine ou leur living. Je vais continuer à travailler en avançant petit à petit dans la vibration jusqu’à ce que je sente ce qu’il y a dans la vibration, dans l’énergie.

Jean-Louis : De quel type de ressenti tu parles là, physique, …?

Alain Fournier : Non, en fait, là je suis en radiesthésie, j’ai créé des fiches spécifiques pour aller chercher ce que j’appelle les pathologies humaines. Quel type de négation humaine ce type d’égrégore porte. Et, à un moment donné, et je ne sais pas toujours expliquer comment cela se passe, je perçois l’entité, en général, je perçois l’âge, l’habillement me situe dans quelle période on se trouve (si c’est une très vielle entité ou plus proche) et quel est le lien  qu’il y a éventuellement avec la personne.
Parce que pour pouvoir faire partir l’entité, c’est un deuxième problème sur la libération, s’il y a un lien entre l’entité et une personne et que ce lien n’est pas coupé, on ne pourra pas faire partir l’entité, ce que beaucoup de personnes ne savent pas.

Donc reprenons notre personne agressée de tout à l’heure, si cette personne agressée a crié au secours dans l’astral, elle a attiré une entité de même énergie décédée dans cette souffrance. Elles se comprennent très bien, même si c’est inconscient pour l’humain, et elles vont s’attacher, se lier.

Si on ne prend pas conscience de ce lien, et qu’on ne fait pas un travail avec la personne pour libérer le lien, l’entité ne la quittera pas. On pourra avoir l’impression qu’elle est partie, on ne la mesurera plus pendant un moment dans la maison, mais c’est un peu comme si elle était sortie avec un élastique, et que quelque temps après elle va revenir auprès de cette personne avec laquelle elle avait un lien que l’on n’a pas libéré.

Jean-Louis : J’avais aussi l’impression qu’il pouvait y en avoir qui n’étaient pas liées à une personne, mais qui n’avaient tout simplement pas réussi à trouver leur voie dans l’au-delà. Peut-on dire qu’il y a des entités avec lien à personne et sans?

Alain Fournier : C’est à dire que l’entité peut s’attacher seule, mais là, et c’est assez étonnant ce que je vais dire, mais moi, dans ma perception, je n’aurai pas le lien, j’aurai sa présence à une personne, collée à une personne, mais sans lien entre la personne et elle.
Je les appelle alors les gluantes, les « slime » si vous vous souvenez de cette matière très gluante avec laquelle les gosses jouaient. Cela ressemble un peu à quelque chose comme cela qui vient se scotcher, se coller, mais sans lien. Donc moi, je peux faire le nécessaire tout seul pour libérer.
Alors que quand il y a un lien, je dois chercher l’endroit du lien, et parler à la personne pour qu’elle agisse elle-même par l’intérieur, demandant à ce que ce lien se libère.

Jean-Louis : Donc, il y en a bien plusieurs types, avec et sans lien à une personne. Celles avec lien, il faut travailler principalement avec la personne humaine, alors que sans lien, travailler juste avec l’entité. Mais, si elles ne sont pas attachées à la personne, elles peuvent être attachées au lieu ?

Alain Fournier : Çà, c’est quelque chose que je sens lorsque je fais partir. C’est à dire qu’au moment où je fais partir, si nous avons une entité par exemple très matérielle, très attachée à son bien, et çà arrive.

Je me souviens d’un vieux monsieur, il était décédé en fumant sa pipe le soir, à la fenêtre où il était toujours assis pour regarder les véhicules qui circulaient. Et ce monsieur, quelques années après, lorsque nous sommes entrés en résonance avec lui, nous demandait ce que nous, nous faisions dans sa maison. Il ne comprenait pas, il ne se savait pas mort.

Il a alors fallu lui expliquer pour ne pas qu’il s’accroche à la maison effectivement. Et cela, c’est quand on fait partir qu’on sent comme s’il y avait une sorte de tentacule, ce ne sont pas vraiment des liens au sens que ce n’est pas posé d’une manière précise, mais c’est un peu comme si on veut sortir quelqu’un d’un appartement et qu’il s’accroche à la table, à la chaise, il veut essayer de se tenir pour ne pas être mis dehors. Et là, on sent au moment du travail une résistance. Et donc il faut lui envoyer de la lumière, moi je travaille beaucoup avec de la lumière. Je lui envoie de la lumière pour libérer les tentacules et le faire partir.

Alors, faire partir, il y a un effet extrêmement important dont je viens encore d’avoir une confirmation scientifique, c’est extraordinaire! Moi, depuis que je travaille, je sors toujours instinctivement, j’ai sorti les énergies hors de l’espace et du temps. Ne me demandez pas pourquoi, c’est un instinct, j’ai su que je devais faire çà.
Et j’ai lu dernièrement un livre de Georges Osorio qui est un ingénieur biologiste qui a travaillé au Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), et qui a beaucoup écrit à la fin de sa vie sur le sujet. Et il a écrit notamment un livre « l’après-vie confirmée par la science ».
Et il dit, c’est assez interpellant, que l’âme libre devrait se trouver dans une vibration qui est au-delà de la vitesse de la lumière, c’est à dire hors de l’espace temps actuellement connu.

 Jean-Louis : C’est une théorie, pas encore une preuve scientifique!

 Alain Fournier : Oui, c’est une théorie non encore prouvée à l’esprit purement cartésien, disons alors que c’est un exposé scientifique.

Mais moi, à partir du moment où cela se corrobore par 2 ou 3 pistes très différentes, en justice, on parlerait d’un faisceau de preuves, à un moment donné il faut savoir, sentir que oui c’est cela.

C’est clair que si l’on se revoie dans 20 ans, je dirai certainement des choses différentes d’aujourd’hui, et si je suis capable de le faire, un, j’en serais déjà heureux, deux j’en serais fier. C’est que j’aurais suivi une évolution qui est en plein boum. On n’est nulle part, on est en train de découvrir.

Jean-Louis : Oui, plus on en sait, plus on se rend compte que l’on ne sait finalement pas grand-chose!

 Alain Fournier : Certainement, tout à fait. On est minuscule, et l’information au plan de l’âme, des énergies, des champs vibratoires, … on est effectivement nulle part.
Oui il y a des choses, pourquoi je parle d’âme? C’est un terme judéo-chrétien ou tout de même très religieux, c’est parce-que les gens comprennent ce mot là. Si je leur parle d’entité, de mémoires, ils ne comprennent pas.

Jean-Louis : Justement, quelle différence fais-tu entre âme et entité ?

 Alain Fournier : L’âme pour moi, c’est la partie qui va et qui vient, celle que je vais nommer quand je dis l’âme habite le corps, dans sa partie incarnée. Alors que pour les entités on parlera d’âmes désincarnées.

Donc, nos âmes à nous deux ici, elles sont incarnées chacune dans leur véhicule, on parle alors d’âme.

Lorsqu’un jour, nous serons décédés, et ce que je n’espère pour aucun de nous deux, que nos âmes ne seraient pas bien parties, et seraient restées dans le bas astral, on parlerait d’entités, d’âmes désincarnées.

Jean-Louis : Donc dans les deux cas, on peut parler d’énergie, pour l’une libérée, pour l’autre pas ?

Alain Fournier : C’est çà. Les termes, c’est très important, c’est énorme ce qui existe, il faut bien les utiliser, sinon on se perd facilement, et on ne se comprend plus : âme = esprit incarné, entité = esprit désincarné.

Décidément le temps passe vraiment très vite, je vous propose de terminer cet interview lors d’un prochain épisode dans lequel Alain nous parlera:

• de l’efficacité des solutions,

• des protections,

• des interactions avec les personnes, …etc.

Et vous, avez-vous déjà ressenti ou observé ces signes de présence ? Qu’avez-vous fait ?
Étiez vous conscients de toutes ces subtilités?

A bientôt pour la suite.